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De 30.000 à 35.000 recrutements, soit de 5000 à 10.000 créations nettes, seront effectués par les acteurs des services informatiques et les logiciels dans l’Hexagone cette année.
Pour l’année prochaine, l’activité de la profession va globalement stagner sur le marché français, avec un retrait de 0,9 % des services informatiques mais une légère croissance pour l’édition de logiciels (+ 1,3%) et le conseil en technologies (+1%).
Toutefois, «le secteur devrait continuer à recruter de 20.000 à 25.000 personnes. Mais les créations nettes d’emplois seront nulles, car le «turn over» (taux de départ des salariés des entreprises), va reculer», ajoute le président du Syntec Numérique. Ce taux de rotation devrait passer de 20% à 15%. Dans les périodes de crise, les salariés quittent moins facilement leur emploi pour tenter l’aventure dans une autre entreprise.
En 2013, le secteur pourrait absorber à peu près l’intégralité des quelques 25.000 ingénieurs en informatique formés chaque année en France. Toutefois, les professionnels estiment que les besoins ne sont pas remplis dans tous les domaines, notamment pour le langage de programmation Java et certaines applications SAP.
Le recours aux emplois «offshore», en particulier en Inde, continue de croître. De plus, certaines formations ne sont pas assez développées. «Environ 300 personnes sont formées chaque année à la cybersécurité alors que plus de 1000 recrutements par an dans ce domaine sont proposés», détaille Luc-François Salvador, président de la Commission sociale et emploi du Syntec Numérique.
Source : Le Figaro – Les échos